sábado, 11 de julho de 2009


Li Le Petit Prince num fôlego. Antoine de Saint-Exupéry prendeu-me com a simplicidade das palavras. Em cada capítulo, uma lição. E um sorriso. Em francês é ainda mais bonito.

C’est tellement mystérieux, le pays des larmes.

Este elle montrait naïvement ses quatre épines. Puis, elle ajouta : - « Ne traîne pas comme ça, c’est agaçant. Tu as décidé de partir. Va-t’ en. ». Car elle ne voulait pas qu’il la vît pleurer. C’était une fleur tellement orgueilleuse…

Il faut exiger e chacun ce que chacun peut donner. L’autorité repose d’abord sur la raison.

Il est bien plus difficile de se juger soi-même que de juger autrui.

C’est véritablement utile, puisque c’est joli.

Cependant c’est le seul qui ne paraisse pas ridicule. C’est peut-être, parce qu’il s’occupe d’autre chose que de soi-même.

Si tu m’apprivoises, nous aurons besoin l’un de l’autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serais pour toi unique au monde… On ne connaît que les choses que l’on apprivoise.

On risque de pleurer un peu si l’on s’est laissé apprivoiser…\

On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux.

Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé.

Le langage est source de malentendus.

On n’est jamais content là où l’on est


A.H.

3 comentários:

Diana disse...

- "Oh Nita o que estás a ler?"

- "O Principezinho"

- "Em francês? És mesmo croma!"

Ahahah adorei *

Daniela Dias Teixeira disse...

Adoro o princepezinho :)
Um livro de sempre e para sempre ;)

Nunca li em francês, isso é muito intelectual (e eu não ia perceber patavina, o que tiraria a essência da coisa :p)

Bézinha* disse...

ai nitinha tu es dmais. nem num jantar onde havia receita tu largavas o princepezinho. quem te viu e quem te ve =p
a minha favorita:
"On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux.

Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé."